Les garçons se cachent pour pleurer

Les garçons se cachent pour pleurer

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Elisabeth BRAMI
Peggy ADAM (Illustrateur)
Les garçons se cachent pour pleurer
Dès 7 ans


« Moi, quand je serai grand, je ne veux pas oublier mon enfance. »
Perdre sa grand-mère, c’est beaucoup de chagrin. Alors se cacher pour pleurer ? Non, ce n’est pas honteux de pleurer, même quand on est un garçon. Et tant pis si les autres à l’école vous traitent de « femmelette » ou d’ « omelette » ! Si Enzo le sait, c’est justement parce que sa mamie le lui a appris, elle qui disait qu’ « un homme qui pleure, c’est beau. Ça prouve qu’il a des sentiments, qu’il n’est pas un robot-macho. ».
Des larmes donc, mais aussi la certitude pour Enzo que sa mamie Magie restera toujours au fond de lui. Avec des mots, des souvenirs, ces moments de forte complicité comme leur escapade « secrète » à Dieppe.

Elisabeth Brami est née à Varsovie en 1946. Après des études supérieures de lettres et de sciences humaines, elle devient psychologue dans un hôpital de jour pour adolescents. Parallèlement, elle n’a cessé d’écrire aussi bien pour les enfants (Seuil, Casterman) que pour les adultes. Chez Thierry Magnier, elle a publié, entre autres, Il y a des heures qui durent longtemps (« Petite poche ») et Amoureux grave (« Photo roman »).



Le doudou de Tiloulou

Peggy Adam a étudié à l’École des Beaux-Arts de Saint-Étienne puis à Toronto et Angoulême. Pour Actes Sud Junior, elle a illustré Les Garçons se cachent pour pleurer, Histoires des Jawi et les deux précédents “romans cadet” de Pascal Vatinel. Elle vit à Genève.



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