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Je ne dirai pas le mot
Madeleine ASSAS
Je ne dirai pas le mot

Dès 14 ans

Ils habitent le même immeuble, se connaissent depuis qu’ils ont huit ans. Mais depuis la rentrée, elle éprouve pour lui un sentiment nouveau, bizarre. Et soudain, elle a l’impression que lui aussi ne la regarde pas pareil. Les sensations, les gestes, le monde a changé entre eux. Même la parole cherche les mots comme dans une autre langue. Elle ne se reconnaît plus, ne le reconnaît plus. Est-ce qu’elle se fait des idées ? Pour se libérer de son angoisse, elle décide de lui écrire. Brouillons de lettre qui finissent à la poubelle, sms effacés nourrissent la frustration d'une jeune fille qui voudrait dire une chose si simple : je t'aime, mais n'y arrive jamais. Lui parler, est-ce le risque de le perdre pour toujours ?

La pointe du compas
Anne REHBINDER
La pointe du compas

Dès 14 ans

Tessa porte des joggings homme oversize, alors que sa mère voudrait faire d’elle une poupée lisse, délicate et gracieuse. Une tenue commode pour se cacher et sortir de « la zone du sexe, de la drague et de tout le bordel qui va avec. » Rejetant l’écrasant bagage qu’impose le fait de naître fille, l’adolescente envoie valser avec franc-parler et humour le diktat des apparences et de la séduction. Elle veut vivre sa féminité comme elle l’entend. Sa sexualité aussi, qui effraye tant sa mère. Et puis un jour, un secret de famille explose, un terrible trauma, qui amène Tessa à reconsidérer sa relation complexe avec sa mère. De quoi la jeune fille est-elle l’héritière ?

 
T'as vrillé
Joanne RICHOUX
T'as vrillé

Dès 15 ans

C’est l’histoire d’une première fois, celle de Danaël, dix-sept ans, englué dans l’ennui et sa cambrousse, avec Florine, gothique, insaisissable, fugace. L’histoire d’une désillusion, un premier amour à sens unique, un «crush» obsédant qui vire à la possession, à la violence. L’écriture vive et incisive de Joanne Richoux dissèque cette frontière parfois mince entre l’amour, la folie, la haine, l’exacerbation des sentiments à l’adolescence.

L.O.L.A.
Claire GARRALON
L.O.L.A.

Dès 14 ans

Quand Lola est entrée dans la classe, ce fut comme un éblouissement pour Charlie. Puis il y eut cette façon de se présenter, en épelant les quatre lettres de son prénom - L.O.L.A. -, comme une mélodie. D’inconnue, Lola devient pour Charlie une amie, puis une meilleure amie. Quelque chose chez elle d’indéfinissable l’attire irrésistiblement. Du trouble, du désir sans doute. Les filles plaisent à Charlie mais certains garçons aussi, c’est confus. Mais on tombe amoureux d’une personne, pas d’un sexe. Pourquoi faudrait-il se définir selon une orientation sexuelle ? Pourquoi se conformer à une étiquette - hétéro, homo… ? Plutôt simplement mettre des mots sur ses pensées pour que ça existe vraiment. Un texte lumineux sur l’éveil du sentiment amoureux, l’affirmation de soi et de ses désirs.

 
Quand les trains passent...
Malin LINDROTH
Jacques ROBNARD (Traducteur)
Quand les trains passent...

traduit du suédois
Dès 15 ans
Adolescent

C’était il y a dix-sept ans. La narratrice se souvient de ses années de lycée et d'une certaine Suzy, une fille paumée à qui on avait fait croire qu’un garçon de la classe était amoureux d’elle. Personne ne pensait qu’elle marcherait dans l’histoire à ce point, mais pour se sentir aimée, Suzy était prête à tout. De défis idiots en mensonges, le canular avait dégénéré jusqu’au sordide : un viol collectif. Dix-sept ans de silence et celle qui fut spectatrice passive parle. Une confession brute, brutale. Un texte qui prend à la gorge.

Esperluette
Anne VANTAL
Esperluette

Dès 15 ans

Cette lettre à Jordan, elle a brusquement éprouvé le besoin de l’écrire, après être retournée par hasard sur le « lieu du crime ». Une lettre pour parler d’elle, de lui, de leur passé. Il lui aura fallu des années pour trouver les mots de leur histoire, celle de gamins inséparables complices des mauvais coups, devenus lui petit escroc pervers et elle lâche aventurière. Jusqu’au funeste épilogue... Comment se pardonner, se racheter?

 
Ma nuit d'amour
Frédérique DEGHELT
Ma nuit d'amour

Dès 15 ans

Elle a 15 ans et se trouve vraiment idiote. Comment a-t-elle pu croire que ce garçon de 21 ans ne la prenait pas pour une gamine ? Pourtant il l'a dit, elle l'entend encore chuchoter à son oreille : "Bientôt, nous passerons toute la nuit ensemble toi et moi, et nous ferons l'amour." Aucun garçon ne lui avait dit une chose pareille ; alors elle veut y croire.

Météore
Antoine DOLE
Météore

Dès 15 ans

Née garçon, Sara se sait être fille depuis la prime enfance. Avant même de pouvoir le formuler, de le comprendre. Mais elle a dû grandir emprisonnée dans un corps subi, moulée dans les lois de la masculinité, à ne pas pouvoir supporter son reflet dans un miroir. Une erreur ? Une anomalie ? Il fallait un changement, un réalignement de ce corps, et c’est à seize ans que Sara débute sa transition pour être celle qu’elle est, se sentir enfin vivante. S’autoriser à être un météore que plus rien n’arrête, même pas les coups et les insultes. Un monologue saisissant et maîtrisé sur un sujet trop longtemps tabou. Un plaidoyer pour la tolérance.

 
Aigre-doux
Wilfried N'SONDÉ
Aigre-doux

Dès 14 ans

"D’où tu viens ?" Comment supporter cette sempiternelle question qui vous réduit à une origine ? Mais qu’est-ce que ça dit de soi, l’endroit où on est né ? Français à part entière, et pourtant... Marre du regard des autres et des préjugés, à cause d’une couleur de peau. Réclamer le droit à exister simplement comme un(e) ado, ici et maintenant, sans avoir tout le temps à se justifier ou provoquer, c’est trop demander ? Tant de questions, de colère à juguler, de confiance à puiser en soi, pour être capable de passer de l’aigreur à la douceur. Un texte qui trouve dans la parole la force de s’opposer à la discrimination.

Rattrapage
Vincent MONDIOT
Rattrapage

Adolescent
Dès 14 ans

Un simple échange de regards, le jour des rattrapages du bac, et tout lui revient en pleine figure. Elle, c'est la jolie fille populaire, comme il en existe dans tous les lycées. Cette année, elle faisait partie des forts, des puissants, de la meute, et n'hésitait pas avec son groupe à se moquer de tous les moches, les geeks, les nuls en cours. Ils avaient même créé un groupe Facebook, l’Association des Cassos Anonymes, pour pouvoir partager leurs vannes et leur mépris, à grands renforts de photos et de vidéos. Lui était l’un de ces « cassos », leur cible favorite avec qui ils sont allés si loin qu’il a fini par craquer... Les mois ont passé. Le voilà assis, comme elle, à attendre dans le hall. Lui dont elle craint maintenant le regard, rongée par les remords. Un monologue puissant contre